/Auschwitz Birkenau
En mars 2011, dans le cadre de son 3e projet pédagogique sur la Shoah, mon ami Stéphane Amélineau, professeur documentaliste au lycée Saint-Rémy de Soissons, nécessite les services d'un photographe et me demande de l'accompagner, lui et ses élèves, en Pologne pour une visite des camps d'Auschwitz et Birkenau.
Deux livres seront publiés de cet Itinéraire de Mémoire. Voici, ici, sans trucages, ni artifices, les images extraites de mon ouvrage, légendées par Stéphane Amélineau.
Wagon sur la Judenrampe entre Auschwitz et Birkenau où furent sélectionnés pour les chambres à gaz des centaines de milliers de juifs, entre mars 1942 et avril 1944
Wagon sur la Judenrampe entre Auschwitz et Birkenau - détail
Wagon sur la Judenrampe entre Auschwitz et Birkenau - détail de serrure
Vue d'ensemble de l'entrée du camp d'Auschwitz
Portail du camp principal d'Auschwitz. Sous cette sinistre sentence, entreront dans ce camp entre le 14 juin 1940 et le 17 janvier 1945, en colonne par 5, des centaines de milliers de déportés venant de toute l'Europe : resistants, juifs et autres individus ostracisés par les nazis.
Portail et barbelés électrifiés à l'entrée du camp
Double rangée de barbelés électrifiés
Block 24a - Un des 28 blocks de détention du camp
Allée du camp - barbelés séparant les blocks des détenus femmes et hommes
Lanterne à l'entrée d'un block
Au delà, la mort ou l'évasion par le suicide
Châlits à trois niveaux - un lit pouvait contenir ici, trois, quatre détenus
Dernier mirador avant le crématoire KI
Le "mur de la mort" à Auschwitz entre les blocks 10 (à gauche) et 11 (à droite). Des dizaines de milliers de détenus ont été fusillés avec une balle dans la nuque par des SS comme Palitzsch, Grabner ou Aumeier
Qui dépassait ce panneau, était abattu, et permettait au garde du mirador d'obtenir des jours de permissions supplémentaires
Entre les deux rangées de barbelés électrifiés (la nuit), du béton était coulé afin d'éviter les évasions souterraines.